Institut de démobilisation
Ceci nest pas le site de lInstitut de démobilisation. LInstitut de démobilisation na pas de site. Il ne fait que déposer ici (endroit parmi dautres) ses productions.
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2012

07/2012
Siemens et Siemens (Une mise au point)
Le texte publié par l’Institut de démobilisation en juin 2012, « SIEMENS s’apprête à sortir de l’Université Humboldt, etc. » a fait l’objet de violentes critiques ; et d’insultes. Venues en particulier de professeurs en poste à cette Université.
C’est qu’en effet il n’avait pas pris soin de mentionner une distinction, importante. Certains ont cru qu’en la faisant tout était sauvé dans l’université… et que le tract devenait non advenu. Qu’alors le nom de SIEMENS pouvait rester dans l’université…
Nous répondons ici (appuyés sur Voltaire…).

06/2012
SIEMENS schickt sich an, die Humboldt-Universität zu verlassen, nach und nach, Seite für Seite (und womöglich gegen seinen Willen)
Diese von dem 'Institut de démobilisation' (Institut für Demobilisierung) herausgegebene Broschüre ist der Abdruck eines Textes, der von Berliner Studenten verfasst wurde. Sie wird hiermit zum Lesen und zum Vervielfältigen angeboten. In den kommenden Wochen wird diese Broschüre in der Humboldt-Universität verteilt. Dieser Text behandelt die Frage der Finanzierung der Universität durch großzügige (blinde bzw. obszöne) Mäzene.


06/2012
SIEMENS s’apprête à sortir de l’Université Humboldt, petit à petit, page après page (contre sa volonté, peut-être)
Dans cette brochure, l’Institut de démobilisation reproduit un texte écrit par des étudiants de Berlin. Il le donne à lire dans sa totalité – et le propage. Il en tire par ailleurs une version en allemand, qu’il va diffuser massivement à l’Université Humboldt, dans l’intérieur du Centre Grimm en particulier, et aux abords.
Ce texte concerne la présence de SIEMENS, entreprise privée, à l’intérieur de l’Université.
Les procédures d’arrachement, initiées par ce tract, avancent depuis, lentement, discrètement, sûrement.

06/2012
Institut français de Berlin. Présence de TOTAL à l’Université, ce 1er juin 2012
L’Institut français de Berlin représente la « culture » française à Berlin. Depuis quelques années, cette institution a décidé de s’ouvrir à des méthodes de communication moins arriérées, plus dynamiques – et, surtout, a décidé d’en finir avec les préjugés surannés selon lesquels la culture serait incompatible avec les financements privés, le sponsoring d’entreprise et les méthodes du marketing culturel avancé. L’Institut français a donc décidé d’accepter d’être sponsorisé par TOTAL.
Ce tract a été distribué le 1er juin 2012, à la bibliothèque universitaire de l’Université Humboldt de Berlin (Centre Grimm), devant l’amphithéâtre où était organisée en grande pompe, en collaboration avec l’Ambassade de France, une « rencontre » intitulée : « La diversité, une chance et un défi pour l’enseignement supérieur ».
Le tract a été très mal (mais vraiment très mal) reçu par les organisateurs français de cette « rencontre ». A court d’arguments (même en français), ils ont fait appel à la sécurité (allemande) pour demander l’évacuation de ceux le distribuant. M. le Vice-président de l’Université Humboldt, lui, a calmement reçu un tract de nos mains. »

06/2012
Eleusis-management
L’Université du Kent et l’Université d’Athènes pour l’Économie et le Commerce mettent en place conjointement un cursus universitaire intitulé « HERITAGE MANAGEMENT ». Ce programme d’étude s’installe à Éleusis. Les pages suivantes sont des traductions de la brochure de présentation de ce programme, çà et là annotée.
Nous ne doutons pas que, si nous avions cherché un peu, nous aurions pu trouver parmi toutes les formations universitaires nouvelles, interdisciplinaires, internationales, etc., une qui fût meilleure encore ; exemplairement plus forte ; plus fortement significative ou symbolique ; plus symboliquement exemplaire. Nous n’avons pas cherché. Nous avons rencontré celle-ci, par hasard. Et nous l’avons ramassée. Parce que la Grèce nous est chère, tellement ; et Eschyle, avec Hérodote, par-dessus tout. Eschyle est notre faiblesse ; notre goût. Il nous a semblé qu’on le prenait comme à partie… et que, décemment, nous ne pouvions sans déchoir laisser faire – là, sous nos yeux. Il nous a semblé qu’on provoquait. D’où ce texte.

 
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